- Impossible de payer par carte de crédit. Le manager des
opérations de l'agence que nous avons rencontré à l'hôtel,
n'accepte pas. Nous insistons et souhaitons passer à son
agence. Il nous annonce un taux dissuasif de 10 % de frais de
transaction. Finalement nous serons jamais allées à l'agence et
le contrat fut signé dans la voiture après avoir fait la queue à
la Barclays banque pendant près de deux heures pour retirer des
dollars.
- Non respect de la prestation. Nous avons loué un véhicule
climatisé privatif. La visite du marché massaï s'est faite en
transport en commun. Sur notre insistance, nous avons pu rentrer
en taxi pour le retour.
- L'état des véhicules est déplorable. Pendant le safari, nous
n'avions pas de poignée pour nous tenir dans la Land Rover car
elles avaient été arrachées. Une journée sur les pistes sans
pouvoir se cramponner. A proscrire absolument pour le dos. Lors
de notre excursion au Kilimandjaro, la voiture mise à notre
disposition (et que le chauffeur ne climatisait pas) était sale,
et des journaux traînaient depuis plusieurs jours.
- La formation des guides laissait à désirer. Ils ne
connaissaient rien et étaient incapables de répondre à nos
questions. Visiter un village massaï, sans nous expliquer leurs
traditions.Quelle frustration ! Heureusement que nous avions
notre documentation. Manifestement, ces jeunes, gentils au
demeurant, venaient d'être recrutés, juste pour l'occasion.
- Enfin, l'attitude du manager des opérations frise la
goujaterie. Après nous avoir raccroché au nez plusieurs fois
lorsque nous voulions nous plaindre de la mauvaise prestation,
il nous a fallu recourir à hôtel qui nous avait recommandé
l'agence pour le contacter. Il est arrivé avec plus de 45
minutes de retard au RV et s'est systématiquement caché derrière
son personnel quand il était acculé.
Un conseil, il existe plus de cent agences qui organisent des
visites et des safaris et Arusha et il vous sera difficile de
trouver pire. Attention toutefois aux recommandations des
hôtels. Nous étions descendues au Kibo Palace Hôtel et la
réceptionniste au lieu de nous transmettre le nom des agences
avec lesquelles l'hôtel travaille nous a dirigées vers un
employé subalterne qui, de toute évidence, était plus intéressé
par la commission qu'il percevrait que le confort des clients.
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